21 octobre 2012

Sérum - Saison 1 - Episode 2


Sérum – Saison 1 – Episode 2
Henri Loevenbruck & Fabrice Mazza

Genre : Policier / Thriller // 212 pages

4ème de couverture :
1773 : MESMER INVENTE L’HYPNOSE
1886 : FREUD INVENTE LA PSYCHANALYSE
2012 : DRAKEN INVENTE LE SÉRUM

Une injection.
Sept minutes pour accéder au subconscient d’Emily Scott.
Un carnet pour décrypter ses visions fantasmagoriques.
Quelques jours pour empêcher le pire.

Mais quand les morts suspectes se multiplient, le NYPD se pose une question : Arthur Draken est-il un psychiatre de génie ou un dangereux criminel ?


Mon avis :  

On reprend là où on a quitté les personnages à la fin du premier épisode. On retrouve Emily chez Draken pour un subir une injection de sérum qui va entrainer chez elle des visons. Le psychiatre à alors sept minutes pour les interpréter en en découvrir les messages cachés.

L’enquête de Lola Gallagher va alors, suite aux « traductions » de Draken, la mener sur la piste d’une société appelée « Exodus2016 » qui a pour but de dénoncer les travers de notre société économique.   

Dans ce second tome, on retrouve le même schéma que dans le précédent : des chapitres courts et rythmés,  une alternance des personnages qui ajoute au tempo de l’épisode comme dans une série TV. Et ç’est efficace.

Je dois bien avouer qu’après la lecture de ces deux premiers tomes, un sentiment d’addiction apparaît et on en redemande.

Sérum - Saison 1 - Episode 1


Sérum – Saison 1 – Episode 1
Henri Loevenbruck & Fabrice Mazza

Genre : Policier / Thriller // 182 pages

4ème de couverture :
1773 : MESMER INVENTE L’HYPNOSE
1886 : FREUD INVENTE LA PSYCHANALYSE
2012 : DRAKEN INVENTE LE SÉRUM

Une injection.
Sept minutes pour accéder au subconscient d’Emily Scott.
Un carnet pour décrypter ses visions fantasmagoriques.
Quelques jours pour empêcher le pire.

Mais quand les morts suspectes se multiplient, le NYPD se pose une question : Arthur Draken est-il un psychiatre de génie ou un dangereux criminel ?


Mon avis

Appelée sur une scène de crime, le détective Lola Gallagher découvre une jeune femme gravement blessée. Elle est transférée à l’hôpital. Elle se réveille amnésique.
Lola découvre alors une vidéo sur laquelle cette jeune femme est poursuivie par des inconnus. Il apparaît que ces gens lui en veulent car à peine sortie de l’hôpital, ils cherchent à nouveau à la faire disparaître.
Lola va alors l’emmener chez son ami le psychiatre Draken pour essayer de lui faire retrouver la mémoire. Qui est réellement cet homme ? Qui cherche à nuire à Emily ?

Il est vrai qu’avec le titre de ce premier opus, on peut rapidement faire le lien avec une série télévisée. Ce pilot met donc bien en place l’histoire et nous fait rencontrer les principaux protagonistes. Au final, ce premier tome est assez attrayant : du rythme, de l'action, du mystère, c’est bien écrit, des chapitres courts et une histoire qui se déroule à cent à l'heure.

Le parallèle avec les séries ne s’arrête pas tout à fait là puisque le livre se termine sur un cliffhanger qui laisse le lecteur sur sa faim. 

7 octobre 2012

Dans l'ombre de la ville


Dans l’ombre de la ville
James Conan

Traducteur : Hélène Morand
Genre : Policier / Thriller // 624 pages

4ème de couverture :
Un simple courrier peut changer une vie. Halcyon Crane découvre ainsi, en recevant la lettre d’un notaire, que sa mère qu'elle croyait morte vivait encore jusqu'il y a très récemment. Pourquoi son père, qu'il l'a élevée seul, lui a-t-il menti ? Qu'a-t-il pu arriver, trente ans plus tôt, pour qu’il décide de lui cacher la vérité ? Hallie part chercher des réponses sur une île isolée de la région des Grands Lacs, où sa mère a vécu et où l'attend le manoir dont elle a hérité. Là-bas, elle va comprendre que les secrets de sa famille sont étroitement liés à l'histoire des autochtones… et que d'étranges phénomènes sont sur le point de se produire…


Mon avis : 

Dans ce roman nous suivons Emily Strauss, une jeune journaliste ambitieuse, à la recherche jeune femme disparue, Anna Zemeckis. Son enquête a démarrée suite à une lettre envoyée par le père d’Anna au journal et du « pari » pris entre Emily et Joseph Pulitzer ; et l’entraîne dans différents milieux de Chicago.

Cette histoire est présentée à travers les visions de trois personnages, qui, chacun à sa façon nous fait découvrir la ville et ce qui s’y trame. Cette alternance de points de vue ne m’a pas permis de m’attacher aux personnages. De plus, je trouve que dans ce récit, ces changements cassent un peu le rythme au lieu de le créer.

L’histoire est assez facile et la résolution de l’histoire par Emily me paraît être une question de chance. L’intrigue est assez irrégulière. A mon sens, Elle démarre lentement pour devenir plus prenante dans le milieu et ralentir sur la fin. De plus, chose que je n’aime pas trop, on devine aisément le « méchant » de l’histoire très vite, ce qui gâche un peu l’histoire.

En revanche, ce qui est réussi dans ce roman est la reconstruction et restitution historique du Chicago du XIXème et de son ambiance typique. On ressent bien ici le travail de l’historienne Helen Rappaport et du journaliste William Horwood, les deux auteurs du livre.

Mon avis est donc assez mitigé sur ce roman. Il y a de bons éléments qui auraient pu rendre l’histoire plus prenante (notamment des personnages qui auraient pu être plus approfondis). Malheureusement, l’ensemble est assez « facile ».