18 septembre 2012

Le dernier homme bon


Le dernier homme bon
A.J. Kazinski

Traducteur : Frédéric Fourreau
Genre : Policier / Thriller // 712 pages

4ème de couverture :
Un tueur sévit à travers le monde, avec des cibles pour le moins singulières : médecins, militants des droits de l'homme, avocats, qui, tous, œuvrent pour le bien. Sur le dos de ces « hommes bons », d’étranges brûlures… Deux policiers, l’un danois, l’autre italien enquêtent sur ces meurtres, épaulés par une astrophysicienne, Hannah. Niels Bentzon et Tommaso di Barbara vont tout tenter pour retrouver les prochaines victimes et les protéger. Venise ou Copenhague, où aura lieu le prochain drame ? Personne ne prend au sérieux ces personnages un brin fêlés, dont la quête semble perdue d'avance... Une intrigue éblouissante qui mêle religion, ésotérisme et science, et un dénouement à couper le souffle !

Mon avis :  

Un policier italien pense avoir découvert un lien entre plusieurs meurtres commis dans différents pays. Dans l’incapacité de poursuivre seul l’enquête, il transmet ses dossiers à un collègue danois. A la différence des meurtres habituel, il apparaît que les victimes soient des personnes « bonnes ». Commence alors la recherche de la prochaine victime et non du coupable de tous ces meurtres.

Le roman nous entraine alors de découverte en découverte et nous faisant quelques rappel de culture G. Les personnages essaient tant bien que mal de suivre eux-mêmes une histoire qui s'emballe et qui les dépassent. Le roman est plutôt bien ficelé mais plus l’échéance fatidique arrive, plus les auteurs mélanges les théories religieuses et la réalité des sciences et de la physique ; et plus le lecteur se pose de question suite à cette accumulation de données.

Cela étant dit les auteurs ont réussi à construire un suspense qui nous entraîne à tourner les pages afin de savoir ce qu’il advient des personnages.
J’ai trouvé que les arguments religieux étaient un peu tirés par les cheveux et que la fin était assez saugrenue…

Au final, un bon moment de lecture mais je ne suis pas convaincu par la démonstration et la conclusion.

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