Tu ne te souviendras pas
Sebastian
Fitzek
Traducteur : Jean-Marie
Argelès
Genre : Policier / Thriller // 408 pages
4ème
de couverture :
Célèbre
avocat berlinois, Robert Stern a rendez-vous avec l'une de ses anciennes
maîtresses dans une friche industrielle désaffectée. Elle vient accompagnée de
Simon, 10 ans, qui s'accuse de sept meurtres… perpétrés quinze ans plus tôt !
Inconcevable. Et pourtant, sur les indications du garçon, Stern découvre un
premier cadavre, celui d'un homme que Simon prétend avoir assassiné à coups de
hache. Tout aussi incroyable, ce DVD que Stern reçoit le lendemain, une vidéo
récente montrant, en pleine santé, son fils qu'il croyait mort. Hallucination ?
Manipulation ? Délire paranoïaque ? Toutes les certitudes de Stern volent en
éclats. Et cette voix qui lui demande : croyez-vous à la réincarnation ?
Dans cette histoire, Robert Stern,
célèbre avocat berlinois, apprend que son fils mort il y a une dizaine d’année
est peut être vivant. Pour le retrouver, il doit d’abord découvrir pourquoi
Simon, 10 ans, s’accuse de meurtre commis il y a 15 ans et qui les a réellement
perpétrés.
Cette histoire, à la frontière
entre le rationnel et le fantastique, est des plus déconcertantes. Pendant tout
le livre, on se demande vraiment où l’auteur nous emmène.
J'ai
eu du mal à rentrer dans ce roman, sa structure me semblait un peu maladroite
et artificielle. A la lecture de cette histoire, on ne sait jamais trop où se
situer. Est-on dans un thriller fantastique, a-t-on affaire à une histoire de
métempsychose ? L’histoire est toujours entre deux eaux et le lecteur dans
un peu dans le brouillard, alors on continue à avancer en espérant que tout
finisse par s'éclaircir.
Le
récit est également truffé de
coïncidences qui se greffent trop bien dans l’intrigue. De plus, beaucoup
de rebondissements ne sont que passagers et ne font pas durer le suspens.
Ajoutez à cela quelques longueurs, on obtient un suspens qui pers de son
intensité et une histoire qui perd en cohérence.
Cette
lecture a été une déception. Je n'ai rien trouvé de très crédible dans cette
histoire assez poussive, du début à la fin.
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