Cent ans de solitude
Gabriel Garcia Marquez
Genre : Littérature // 462 pages
Traducteur : Claude et Carmen Durand
Traducteur : Claude et Carmen Durand
4ème de couverture :
Une épopée vaste et multiple, un mythe haut en couleur plein de rêve et de réel. Histoire à la fois minutieuse et délirante d'une dynastie : la fondation, par l'ancêtre, d'un village sud-américain isolé du reste du monde ; les grandes heures marquées par la magie et l'alchimie ; la décadence ; le déluge et la mort des animaux. Ce roman proliférant, merveilleux et doré comme une enluminure, est à sa façon un Quichotte sud-américain : même sens de la parodie, même rage d'écrire, même fête cyclique des soleils et des mots. Cent ans de solitude compte parmi les chefs-d'oeuvre de la littérature mondiale du XXe siècle.
Mon avis :
Présenté comme un chef d'œuvre, je n'ai, pour ma part, pas trouvé ce qui fait de ce livre un des plus grands livres sud-américain.
La famille Buendia a fondé le village de Macondo. Un village perdu qui se transforme au fil des années alors qu’au sein de la famille Buendia le destin de chaque membre de la famille semble se répéter à chaque génération quelque soit les évènements qui viennent frapper le village et les Buendia.
A travers ce livre on peut entrevoir que l’auteur cherche à nous raconter l’histoire de la construction de son pays et par extension du continent sud-américain à la fois sur le plan historique (guerres civiles, révolutions, fléaux,…) et sur le plan de la civilisation (une famille qui devient village, implantation d’autres peuples, invasion de l’industrialisation américaine).
L'histoire est intéressante mais la multiplication des personnages portant les mêmes prénoms, avec un destin et des traits de personnalité similaires ne facilite pas la lecture.
Il faut se souvenir de tous ces personnages. On arrête pas de tourner en rond lors de la lecture tant et si bien qu'on ne sait plus qui est qui jusqu'à la délivrance du mot fin.
Après tout ce qui a été dit sur ce livre, je m'attendais vraiment à un chef d'œuvre, c'est peut-être à cause de cela que j'ai été déçu. Ce roman est sans doute riche d’enseignements mais je n'ai pas accroché et suis totalement passé à côté de cette tentative de allégorie de l'humanité.
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